Dernièrement, j'ai vu sur le site de La Presse une nouvelle concernant un message du premier ministre du Québec, François Legault, à propos du port du masque à l'extérieur. Je ne parlerai pas du comportement du gouvernement québécois à propos des mesures sanitaires ici, on en parle déjà beaucoup trop ailleurs. Moi, ce qui m'a dérangé, c'est que pour lire le message en question, il fallait absolument avoir un compte Facebook.
Mot-clé - Facebook
Bâtir l'Internet que je veux, pas celui que j'ai déjà
Je sais qu'Internet est bien utile pour beaucoup de gens. Il est même devenu une habitude, voire même une nécessité, pour plusieurs personnes.
Beaucoup parmi eux ne sont que des consommateurs : ils butinent d'un site à l'autre, et maintenant, surtout, d'un réseau social à l'autre. Ils ont forcément un compte Facebook, mais aussi un Instagram, un Snapchat, un Twitter. Les plus sérieux, un LinkedIn. Tous ces réseaux sociaux ont un point en commun : ils incitent à publier sur leur plateforme, et à réagir aux publications des autres.
Il faut comprendre que tous les réseaux sociaux vont faire des pieds et des mains pour faciliter les interactions entre les utilisateurs, et ce dans le but de les garder captifs entre eux, sur leur plateforme. Sur Facebook, par exemple, on a évidemment les statuts, les commentaires et les Like, mais aussi les photos, les groupes, les évènements, les petites annonces, les recommandations, les articles de blogue, les jeux, les vidéos et les directs (Facebook Live).
Le patriote
Certains se demandent pourquoi j'ai arrêté de publier sur Facebook.
Aujourd'hui, ici, au Québec, c'est la Journée nationale des patriotes.
Les deux sujets sont liés, je vous assure.